Carlos
salut Camille,quelle bonne ide9e que ces chroniques anvinersaires que tu inaugures avec l hiver 63 ! Je garde des souvenirs tre8s vivaces de cette pe9riode tant le froid qui envahit la Bigoude9nie fut exceptionnel. Les pauvres mulets qui vinrent par milliers e0 la cf4te en firent les frais, on n en a sans doute jamais peache9s autant e0 Saint-Gue9 ! Et pas des mulets du port sentant un peu la vase et le mazout mais des vrais mulets savoureux de pleine mer. On les peachait au grappin partout le long des rochers. A la fin ils vinrent mourir par centaines les long des plages, certains avec les flans de9vore9s par leurs conge9ne8res. C est aussi la premie8re anne9e of9 l on vit les vanneaux envahir les dunes et les champs. Quant aux grives elles e9taient si affaiblies par les tempe9ratures quasi sibe9riennes qu on pouvait les attraper en leur plongeant dessus. Je ne m en suis pas prive9 He9las ! devrais-je dire tant nos instincts de jeunes pre9dateurs nous firent commettre des exce8s de peache et de chasse.Bonne continuation, longue vie e0 ton site.Et bien sfbr Bloavezh Mad dit !Henri
Wellington
salut Camille,une petite pre9cision crnoecnant les carrie8res : j habitais pre8s de l une des deux grandes carrie8res du Viben et je me souviens que lorsque j e9tais encore tout jeune (je suis ne9 en 1951) les ouvriers qui y travaillaient venaient e9pisodiquement demander e0 ma me8re de fermer les volets de la maison pour e9viter que les explosions de dynamite ou les projections de pierres ne brisent les vitres. Je situe cette pe9riode entre les anne9es 1955 et 1960, un peu avant peut-eatre mais gue8re plus. Certaines carrie8res ont donc e9te9 exploite9es apre8s la guerre. Je pense quand meame qu il devait s agir d une exploitation confidentielle qui a dfb s interrompre rapidement ensuite car enfants nous passions beaucoup de temps e0 jouer dans les carrie8re du quartier (ainsi que tu le pre9cises dans l article), notamment en hiver lorsqu elles se remplissaient d eau et qu elles nous servaient meame de patinoire dans les pe9riodes de grand froid. Un de nos jeux favoris consistait alors e0 traverser l espace gele9 dans tous les sens en espe9rant que la glace ne se brise pas sous nos pas ; e7a craquait de tous les cf4te9s mais c e9tait une fae7on inconsciente de provoquer le destin. Aucun d entre nous n est jamais passe9 e0 travers la glace et il faut sans doute s en re9jouir car je pense que par endroit il devait y avoir pas loin de deux me8tres d eau.AmicalementHenri
Ali
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jeanne d arc talbot fradet
bonjour
sincères condelenaces et sympathies a la famille fradet et Thomassin ainsi qu aux enfants et petits enfants
bon courage dans votre epreuve
jeanne d arc Talbot fradet
et les enfants
ps) femme de feu Maurice fradet ( cousin de la defunte )
DENISE LAFLAMME et SYLVAIN ALLARD
Nous sommes très attristés par ce décès et nous partageons la douleur que vous ressentez aujourd'hui. Nos meilleures pensées et nos prières vous accompagnent. Nous sommes dans l'imposibilité d' aller au service. Nos meilleures pensées vous accompagne.
Céline et Réjean Beaulieu
Les gens que nous aimons
ne nous quittent jamais vraiment
car ils vivent dans chaque sourire
qu'une pensée d'eux
dessine sur notre visage.
En ces moments difficiles,
sachez que nos pensées les plus sincères
vous accompagnent.
Nos Sincères Condoléances.
Nathalie Goyette
Une maman, c’est notre identité, c’est ce que nous sommes. Perdre un parent, c'est une épreuve plus difficile qu’on le croit. Soyez forts.
Tout particulièrement à Martin et Marie-Renée, mes sincères condoléances.
Nathalie
Edith Giroux
Salut Richard
sincère condoléance à toi et à toute ta famille. C'est impossible de me libérer pour le service, on penseras à vous.
Edith, Dave et Judy.
Micheline Laflamme (belle-fille d'André Fradet)
Je vous souhaite de meilleures jours.
J'aimerais vous partager un des moments que jamais je n'oublierai.
Cela se passe aux temps des fêtes, il y a quelques années. Moi et Fernand (mon mari) avons fait une surprise à mes parents. Mais c'est nous qui avons eu une surprise, car nous avons été invités à passer la soirée avec vous.
Nous sommes arrivés pour le dessert, nous avons joué aux cartes, contés des histoires, rires, chantés.
Nous avons été reçu en toute simplicité, comme si nous faisions parties intégrante de votre famille.
Merci Madame Bernadette pour votre générosité, votre hospitalité.
Maintenant, il est temps pour vous de vous reposer.
De là-haut, protégez votre famille, ils auront besoin de sentir vos bras rassurants.
Mes pensées sont avec vous Xxx
Yolande Pouliot et Raymond Bernier
C'est avec émotion que j'apprends cette très triste nouvelle et je tiens à vous assurer que je partage votre peine. Avec toute mon affection.
Estelle Pouliot
Prenant part à votre douleur, je vous présente mes sincères condoléances, à vous et à toute votre famille.
Nicole Pouliot et René Gagnon
Nous tenons à vous offrir nos plus sincères condoléances
gino therrien
Prenant part à votre douleur, je vous présente mes sincères condoléances, à vous et à toute votre famille.
Helen Keough
mes plus sincères condoléances a toute la famille,M. Thomassin, Richard, Bernard, Martin et vos conjointes,Colette, André et son épouse, je sais que la perte d une épouse d une mère est très douloureuse et laisse un grand vide , je suis en pensée avec vous.
Jean-Pierre Thomassin
De ma lointaine Abitibi, j'offre mes sympathies à toute le famille.
Johanne Boivin
Très cher Martin et ta famille,
C'est avec beaucoup d'émotion que je t'adresse ce message.
Ta maman ne souffre plus maintenant et c'est mieux ainsi, crois-moi...
Il te faudra du courage et de la force pour vivre ces moments difficiles, mais tu y arriveras.
Nous serons tous avec toi, cher Martin, malgré notre absence.
Tendresse et affection xox
Johanne, Bruno, Hélène, François, Chantal, Christian, Louis-Thomas, Juliette, Maryse, Françoise, Évelyne
Line Lapierre
Nous sommes très attristés par ce décès et nous partageons la douleur que vous ressentez aujourd'hui. Nos meilleures pensées et nos prières vous accompagnent.